mardi 23 avril 2019

Mardi 23 avril 2019. Athènes

Notre hôtel bien que modeste, est situé à moins de 200 m de la station de Métro Larrisa. Nous rejoignons très vite site incontournable du Parthénon. Notre âge canonique nous permet même de bénéficier du demi tarif. Une fois nos tickets achetés, nous entreprenons la montée vers l'Acropole. En chemin, arrêt obligé à l'Odéon d'Hérode Atticus, puis nous poursuivons vers le théâtre de Dionysos, avant d'enfin atteindre l'Acropole, malheureusement surchargée d'échafaudages. Nous voyons de loin le petit temple d'Athéna Niké, inaccessible à cause des travaux. Le Parthénon s'offre à nous, un peu décevant à la suite des travaux qu'il a subi et subit encore. L'Erechthéion enfin et ses cariatides (des reproductions, bien sûr, les originales sont au musée de l'Acropole) que nous visitons après être redescendus avec quelques difficultés, compte tenu de l'affluence en cette fin de matinée. Le musée, immense est fort bien agencé et l'on n'y souffre pas trop de l'affluence. Malheureusement, les photos sont interdites dans les salles les plus intéressantes. En sortant du musée, nous empruntons la Grande Promenade qui ceinture le versant sud de l'Acropole, pour rejoindre l'Agora antique. Nous montons jusqu'au temple d'Héphaïstos, fort bien conservé, passons dena t la petite église du 11° siècle dont les icônes peintes sur les murs sont malheureusement en très mauvais état. Nous visitons, rapidement, je l'avoue le musée de l'ancienne Agora et poursuivons notre route jusqu'à l'Agora romaine où seule la ported'Athéna errigée par César est encore debout. La curiosité principale de ce site est la Tour des Vents, élevée au 1° siècle avant JC. Cet édifice octogonal en marbre servait de cadran solaire, de girouette, de clepsydre et de boussole. Chaque côté de la tour est orné d'un personnage flottant dans les airs, représentant le vent soufflant dans cette direction. Nous terminons par la Bibliothèque d'Adrien dont il ne reste que les vestiges d'un mur. Nous plongeons alors dans le quartier de Monastakiri, à la fois souk et puces d'Athènes. Nous terminons la journée par l'ascension du Mont Lycabette auquel on accède par une série de volées d'escaliers -un peu comme à Montmartre- mais plus long, et, enfin par une télécabine qui grimpe jusqu'au sommet. A part sa petite église, le seul intérêt du site est la vue à180 degrés sur Athènes. On se rend bien compte là combien la ville a cru en tous sens arrêté seulement par la mer et les montagnes. Nous repassons par Monatikari où nous dînons dans un restaurant grec typique avant de rentrer.

2 commentaires:

  1. Votre périple Turquie Grèce est assez rocambolesque En plus vous dites que cela vous est revenu moins cher !!!!
    A l’aérodrome d'Ismyr, nous avions du aller sur le tarmac pour demander aux pilotes des avions leur destination !!! Vous me direz s'il y a maintenant un panneau d'affichage à votre retour !!! Ils ont du se moderniser !
    Monique

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  2. Avec toutes tes magnifiques photos depuis le début de ton périple, tu fais envie de te rejoindre.... Bien des îles inconnues, mais Bari, Athènes, Corinthe, Ephèse font surgir de beaux souvenirs d'il y a 25-30 ans!
    Avec ton expérience Michel, pas de doute que tu trouves toujours la meilleure solution à chaque problème. Bonne route adelaide

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